Revues systématiques related to this topic

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Systematic review

Unclassified

Journal Journal of Thrombosis and Haemostasis
Year 2017
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ESSENTIALS: Despite trial data, guidelines have not endorsed direct oral Xa inhibitors above other options. We provide profiles of venous thromboembolism and hemorrhage risk for 12 options. Direct oral Xa inhibitors had a favorable profile compared with low-molecular-weight heparin. Other options did not have favorable profiles compared with low-molecular-weight heparin. SUMMARY: BACKGROUND: There are numerous trials and several meta-analyses comparing venous thromboembolism (VTE) prophylaxis options after total hip and knee replacement (THR and TKR). None have included simultaneous comparison of new with older options. Objective To measure simultaneously the relative risk of VTE and hemorrhage for 12 prophylaxis options. METHODS: We abstracted VTE and hemorrhage information from randomized controlled trials published between January 1990 and June 2016 comparing 12 prophylaxis options. We then constructed networks to compute the relative risk for each option, relative to once-daily dosing with low-molecular-weight heparin (LMWH) Low. RESULTS MAIN: Relative to LMWH Low, direct oral Xa inhibitors had the lowest risk of total deep vein thrombosis (DVT)-asymptomatic and symptomatic- (odds ratio [OR], 0.45; 95% confidence interval [CI], 0.35-0.57), translating to 53-139 fewer DVTs per 1000 patients. Vitamin K antagonists (VKAs) titrated to International Normalized Ratio [INR] 2-3 predicted 56% more DVT events (OR, 1.56; 95% CI, 1.14-2.14). Aspirin performed similarly (OR, 0.80; 95% CI, 0.34-1.86), although small numbers prohibit firm conclusions. Direct oral Xa inhibitors did not lead to significantly more bleeding (OR, 1.21; 95% CI, 0.79-1.90). Secondary: Relative to LMWH Low, direct oral Xa inhibitors prevented 4-fold more symptomatic DVTs (OR, 0.25; 95% CI, 0.13-0.47). CONCLUSIONS: Relative to LMWH Low, direct oral Xa inhibitors had a more favorable profile of VTE and hemorrhage risk, whereas VKAs had a less favorable profile. The profile of other agents was not more or less favorable. Clinicians should consider these profiles when selecting prophylaxis options.

Systematic review

Unclassified

Auteurs Forster R , Stewart M
Journal Cochrane Database of Systematic Reviews
Year 2016
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CONTEXTE: La durée optimale de la thromboprophylaxie après une prothèse totale de la hanche ou du genou, ou de la réparation d'une fracture du col du fémur, reste controversée. Il est courant d'administrer une prophylaxie par de l'héparine de bas poids moléculaire (HBPM) ou de l'héparine non fractionnée (HNF) jusqu'à la sortie de l'hôpital, généralement sept à 14 jours après l'opération. Des directives internationales recommandent une thromboprophylaxie étendue jusqu'à 35 jours après une chirurgie orthopédique importante, mais cette recommandation est de force faible en raison de preuves de qualité modérée. En outre, les nouveaux anticoagulants oraux qui exercent leur effet par une inhibition directe de la thrombine ou du facteur X activé n'ont pas besoin de surveillance et ont peu d'interactions médicamenteuses connues. L'intérêt pour ce sujet reste élevé. OBJECTIFS: Évaluer les effets de la thromboprophylaxie sur une durée prolongée pour la prévention de la thromboembolie veineuse (TEV) chez les patients subissant une chirurgie programmée de prothèse de la hanche ou du genou, ou de réparation d'une fracture du col du fémur. STRATÉGIE DE RECHERCHE DOCUMENTAIRE: Le spécialiste de l'information vasculaire Cochrane a fait des recherches dans le registre spécialisé (dernière recherche en mai 2015) et CENTRAL (2015, numéro 4). Les bases de données d'essais cliniques ont été consultées pour les études en cours ou non publiées. CRITÈRES DE SÉLECTION: Les essais contrôlés randomisés évaluant la thromboprophylaxie sur une durée prolongée (cinq à sept semaines) utilisant des doses prophylactiques acceptées d' HBPM, d'HNF, d'anti-vitamines K (AVK) ou d'anticoagulants oraux directs (AOD) par rapport à la thromboprophylaxie de courte durée (sept à 14 jours) suivie d'un placebo, d'une absence de traitement ou d'une thromboprophylaxie sur une durée prolongée similaire par HBPM, HNF, AVK ou AOD chez des participants subissant une prothèse de la hanche ou du genou ou une réparation d'une fracture de la hanche. RECUEIL ET ANALYSE DES DONNÉES: Nous avons indépendamment sélectionné les essais et extrait les données. Les désaccords ont été résolus par la discussion. Nous avons effectué des méta-analyses utilisant un modèle à effets fixes avec des rapports de cotes (RC) et des intervalles de confiance à 95 % (IC). Nous avons utilisé un modèle à effets aléatoires lorsqu'il y avait hétérogénéité. RÉSULTATS PRINCIPAUX: Nous avons inclus 16 études (24 930 participants) ; six ont comparé l'héparine à un placebo, une étude un AVK à un placebo, deux un AOD à un placebo, une étude a comparé un AVK à l'héparine, cinq ont comparé un AOD à l'héparine et un essai a comparé des anticoagulants choisis à la discrétion des investigateurs avec un placebo. Trois essais incluaient des participants ayant eu une prothèse du genou. Aucune étude n'a évalué la réparation de la fracture du col du fémur.Les essais étaient généralement de bonne qualité méthodologique. La principale raison du risque incertain de biais a été la consignation insuffisante. La qualité des preuves conformément à la méthode GRADE était généralement modérée, car certaines comparaisons incluaient une seule étude, un faible nombre d'événements ou à cause de l'hétérogénéité entre les études, ce qui conduit à de grands IC.Nous n'avons mis en évidence aucune différence entre l'héparine et le placebo sur une durée prolongée dans la TEV symptomatique (RC 0,59, IC à 95 % de 0,35 à 1,01 ; 2329 participants ; 5 études ; preuves de qualité élevée), la thrombose veineuse profonde (TVP) symptomatique (RC 0,73, IC à 95 % de 0,39 à 1,38 ; 2019 participants ; 4 études ; preuves de qualité modérée), l'embolie pulmonaire (EP) symptomatique (RC 0,61, IC à 95 % de 0,16 à 2,33 ; 1595 participants ; 3 études ; preuves de faible qualité) et le saignement majeur (RC 0,59, IC à 95 % de 0,14 à 2,46 ; 2500 participants ; 5 études ; preuves de qualité modérée). Le saignement mineur était plus élevé dans le groupe de l'héparine (RC 2,01, IC à 95 % de 1,43 à 2,81 ; 2500 participants ; 5 études ; preuves de qualité élevée). Le saignement non-majeur cliniquement pertinent n'était pas rapporté.Nous n'avons mis en évidence aucune différence entre un AVK et un placebo sur une durée prolongée (une étude, 360 participants) pour la TEV symptomatique (RC 0,10, IC à 95 % de 0,01 à 1,94 ; preuves de qualité modérée), la TVP symptomatique (RC 0,13, IC à 95 % de 0,01 à 2,62 ; preuves de qualité modérée), l'EP symptomatique (RC 0,32, IC à 95 % de 0,01 à 7,84 ; preuves de qualité modérée) et le saignement majeur (RC 2,89, IC à 95 % de 0,12 à 71,31 ; preuves de faible qualité). Le saignement non-majeur cliniquement pertinent et le saignement mineur n'étaient pas rapportés.L'AOD sur une durée prolongée a montré une réduction de la TEV symptomatique (RC 0,20, IC à 95 % de 0,06 à 0,68 ; 2419 participants ; 1 étude ; preuves de qualité modérée) et de la TVP symptomatique (RC 0,18, IC à 95 % de 0,04 à 0,81 ; 2459 participants ; 2 études ; preuves de qualité élevée) par rapport à un placebo. Aucune différence n'a été trouvée pour l'EP symptomatique (RC 0,25, IC à 95 % de 0,03 à 2,25 ; 1733 participants ; 1 étude ; preuves de faible qualité), le saignement majeur (RC 1,00, IC à 95 % de 0,06 à 16,02 ; 2457 participants ; 1 étude ; preuves de faible qualité), le saignement non-majeur cliniquement pertinent (RC 1,22, IC à 95 % de 0,76 à 1,95 ; 2457 participants ; 1 étude ; preuves de qualité modérée) et le saignement mineur (RC 1,18, IC à 95 % de 0,74 à 1,88 ; 2457 participants ; 1 étude ; preuves de qualité modérée).Nous n'avons mis en évidence aucune différence entre les anticoagulants sur une durée prolongée choisis à la discrétion des investigateurs et un placebo (une étude, 557 participants, preuves de faible qualité) pour la TEV symptomatique (RC 0,50, IC à 95 % de 0,09 à 2,74), la TVP symptomatique (RC 0,33, IC à 95 % de 0,03 à 3,21), l'EP symptomatique (RC 1,00, IC à 95 % de 0,06 à 16,13), et le saignement majeur (RC 5,05, IC à 95 % de 0,24 à 105,76). Le saignement non-majeur cliniquement pertinent et le saignement mineur n'étaient pas rapportés.Nous n'avons mis en évidence aucune différence sur une durée prolongée entre un AVK et l'héparine (une étude, preuves de faible qualité) pour la TEV symptomatique (RC 1,64, IC à 95 % de 0,85 à 3,16 ; 1279 participants), la TVP symptomatique (RC 1,36, IC à 95 % de 0,69 à 2,68 ; 1279 participants), l'EP symptomatique (RC 9,16, IC à 95 % de 0,49 à 170,42 ; 1279 participants), l'hémorragie majeure (RC 3,87, IC à 95 % de 1,91 à 7,85 ; 1272 participants) et l'hémorragie mineure (RC 1,33, IC à 95 % de 0,64 à 2,76 ; 1279 participants). Le saignement non-majeur cliniquement pertinent n'était pas rapporté.Nous n'avons mis en évidence aucune différence sur une durée prolongée entre un AOD et l'héparine pour la TEV symptomatique (RC 0,70, IC à 95 % de 0,28 à 1,70 ; 15 977 participants ; 5 études ; preuves de faible qualité), la TVP symptomatique (RC 0,60, IC à 95 % de 0,11 à 3,27 ; 15 977 participants ; 5 études ; preuves de faible qualité), l'EP symptomatique (RC 0,91, IC à 95 % de 0,43 à 1,94 ; 14 731 participants ; 5 études ; preuves de qualité modérée), l'hémorragie majeure (RC 1,11, IC à 95 % de 0,79 à 1,54 ; 16 199 participants ; 5 études ; preuves de qualité élevée), le saignement non-majeur cliniquement pertinent (RC 1,08, IC à 95 % de 0,90 à 1,28 ; 15 241 participants ; 4 études ; preuves de qualité élevée) et l'hémorragie mineure (RC 0,95, IC à 95 % de 0,82 à 1,10 ; 11 766 participants ; 4 études ; preuves de qualité élevée). CONCLUSIONS DES AUTEURS: Des preuves de qualité modérée suggèrent que, sur une durée prolongée, les anticoagulants pour prévenir la TEV doivent être envisagés pour les personnes subissant une chirurgie de prothèse de hanche, bien que le bénéfice doit être mis en balance avec le risque accru d'hémorragie mineure. D'autres études sont nécessaires pour mieux comprendre l'association entre la TEV et les anticoagulants oraux sur une durée prolongée dans les cas de prothèse du genou et de réparation de la fracture du col du fémur, ainsi que des issues telles que la TVP proximale et distale, la réintervention, l'infection de la plaie et la cicatrisation. NOTES DE TRADUCTION: Traduction réalisée par Daniel Pinchenzon et révisée par Cochrane France

Systematic review

Unclassified

Auteurs Huang XC , Hu XH , Wang XR , Zhou CX , Wang GY
Journal VASA. Zeitschrift fur Gefasskrankheiten
Year 2016
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BACKGROUND: Diverse treatment suggestions range from monitoring with duplex examinations to therapeutic anticoagulation (TA) for managing isolated calf muscle vein thrombosis (ICMVT). However, the small sample sizes and low-level evidence provided by most studies in the literature mean that the benefits of promising new treatment protocols are unclear. Hence, this meta-analysis is intended to assess the efficacy and safety of TA for patients with ICMVT. PATIENTS AND METHODS: Articles comparing TA with no anticoagulation (NA) or no therapeutic anticoagulation (NTA) in patients with ICMVT were collected from PubMed, the Cochrane Library, EMBASE, and Web of Science. The risk ratio (RR) and 95 % confidence interval (95 % CI) were generated for each outcome of interest. The data were pooled using a random-effects or fixed-effects model to evaluate differences in outcomes between the TA and control groups. RESULTS: Five of 377 initially identified papers were included. One randomized controlled trial, one non-randomized controlled trial and three retrospective cohort studies (a total of 744 patients, 390 in the TA group and the remaining 354 in the NA or NTA group) were included in this meta-analysis. The occurrence of thrombosis progression was significantly less frequent in those who received TA compared with those receiving NTA (RR = 0.33, 95 % CI 0.20 to 0.54, p < 0.01). The rate of complete recanalization was higher, albeit not significantly, in the TA group than in the NTA group (RR = 1.96, 95 % CI 1.01 to 3.80, p = 0.05). None of the pooled outcomes were significantly different when comparing the TA and NA groups. CONCLUSIONS: This study suggests that TA may result in a significant reduction in the rate of thrombosis progression and a marginally significant increase in the rate of complete recanalization for patients with ICMVT. Further studies are needed to confirm these findings and clarify whether the benefits of TA outweigh the potential harm.

Systematic review

Unclassified

Auteurs Garry J , Duke A , Labropoulos N
Journal The British journal of surgery
Year 2016
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Background A large number of studies have examined the potential complications of calf deep vein thrombosis (DVT). There is no consensus on when or how to treat patients to prevent these complications. This systematic review assessed the rate of proximal propagation, pulmonary embolism, major bleeding and recurrence in patients with isolated calf DVT. Methods Database searches of MEDLINE, the Cochrane Library, Scopus, CINAHL and Web of Science were undertaken along with extensive cross-referencing. Two independent reviewers screened the papers using stringent inclusion and exclusion criteria. Included studies were graded on six methodological standards. Data on propagation, pulmonary embolism, recurrence and major bleeding were abstracted. Results A total of 4261 papers were found; 15 met the inclusion criteria, including five randomized clinical trials and ten prospective cohort studies. The propagation rate to the popliteal vein or above was around 9 per cent and the rate of pulmonary embolism was close to 1·5 per cent. No studies found anticoagulant therapy to reduce the rate of adverse outcomes. Conclusion The literature on calf DVT is heterogeneous, limiting conclusions from data analysis. Adverse outcomes are infrequent and studies do not suggest that they are reduced by anticoagulation.

Systematic review

Unclassified

Auteurs Zhang ZH , Shen B , Yang J , Zhou ZK , Kang P , Pei FX
Journal BMC musculoskeletal disorders
Year 2015
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BACKGROUND: Risk factors for venous thromboembolism (VTE) of total joint arthroplasty (TJA) have been examined by many studies. A comprehensive systematic review of recent findings of high evidence level in this topic is needed. METHODS: We conducted a PubMed search for papers published between 2003 and 2013 that provided level-I and level-II evidences on risk factors for VTE of TJA. For each potential factors examined in at least three papers, we summarize the the number of the papers and confirmed the direction of statistically significant associations, e.g. "risk factor" "protective factor" or "controversial factor". RESULTS: Fifty-four papers were included in the systematic review. Risk factors found to be associated with VTE of both total hip arthroplasty and total knee arthroplasty included older age, female sex, higher BMI, bilateral surgery, surgery time > 2 hours. VTE history was found as a VTE risk factor of THA but an controversial factor of TKA. Cemented fixation as compared to cementless fixation was found as a risk factor for VTE only of TKA. TKA surgery itself was confirmed as a VTE risk factor compared with THA surgery. CONCLUSIONS: This systematic review of high level evidences published in recent ten years identified a range of potential factors associated with VTE risk of total joint arthroplasty. These results can provide informations in this topic for doctors, patients and researchers.

Systematic review

Unclassified

Journal Journal of vascular surgery
Year 2012
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OBJECTIF: Cette méta-analyse a été entreprise pour évaluer l'efficacité et l'innocuité du traitement anticoagulant chez les patients adultes atteints de thrombose veineuse du mollet isolé veineuse profonde (TVP). MÉTHODES: Nous avons cherché dans MEDLINE (1950-Octobre 2010), la Cochrane Library (1993-Octobre 2010), les registres d'essais, résumés de réunions et des références sélectionnées, en utilisant pas de limites. Les études incluses ont comparé les résultats de l'anticoagulation (antivitamine K ou héparine thérapeutique) pendant un minimum de 30 jours vs les résultats de l'anticoagulation chez les adultes non atteints de TVP veine du mollet prouvé par échographie ou venograph qui ont été suivis pendant au moins 30 jours. Deux examinateurs indépendants ont extrait les données à l'aide d'un formulaire mis à l'essai normalisé. La qualité méthodologique a été évaluée en utilisant le risque de Cochrane outil de Bias pour les essais contrôlés randomisés (ECR) et de l'échelle Newcastle-Ottawa évaluation de la qualité des études de cohorte et cas-témoins. Les divergences ont été résolues par consensus ou par un autre examinateur. Les auteurs ont été contactés pour obtenir des informations supplémentaires si nécessaire. Les résultats ont été regroupés à l'aide de Peto modèles à effets fixes. RÉSULTATS: Sur 2328 études identifiées, deux ECR et six cohortes (126 patients traités par anticoagulants et 328 contrôles) répondaient aux critères de sélection. La qualité méthodologique de la plupart des études était pauvre. L'embolie pulmonaire (PE; odds ratio, 0,12; intervalle de confiance à 95%, de 0.02 à 0.77, p = .03) et la propagation du thrombus (odds ratio: 0,29; intervalle de confiance à 95%, de 0,14 à 0.62, p = .04) étaient significativement moins fréquente chez ceux ayant reçu l'anticoagulation. Existait une hétérogénéité significative dans les études révèlent des taux de mortalité, mais ceux-ci ont démontré une tendance vers une diminution des décès avec les anticoagulants. Lorsqu'il est limité aux essais randomisés, l'effet protecteur du traitement anticoagulant pour le PE n'était plus statistiquement significative, mais le bénéfice pour prévenir la progression de thrombus persistent. Les effets indésirables tels que des saignements ont été rapportés, mais peu en faveur de contrôles (P = .65). CONCLUSIONS: Notre étude suggère que le traitement anticoagulant pour une TVP veine du mollet peut diminuer l'incidence de l'EP et la propagation du thrombus. Toutefois, en raison de la mauvaise qualité méthodologique et quelques événements parmi les études incluses pour le PE, ce résultat n'est pas robuste. Propagation thrombus apparaît réduit avec un traitement anticoagulant. Un ECR rigoureux aidera dans les décisions de traitement de la TVP veine du mollet.

Systematic review

Unclassified

Journal Journal of vascular surgery
Year 2012
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CONTEXTE: La controverse persiste quant à savoir si tous les veaux veine thrombus doit être traité avec anticoagulation ou observé avec surveillance en duplex. Nous avons effectué une revue systématique de la littérature pour évaluer si les données pourraient soutenir soit l'approche, suivie par l'examen de son histoire naturelle en stratifiant résultats selon début propagation de caillots, d'embolie pulmonaire (PE), la récidive, et le syndrome post-thrombotique (PTS). METHODES: Les essais Un total de 1513 articles ont été examinés qui ont été publiés à partir de Janvier 1975 à Août 2010 en utilisant les recherches de bases de données informatisées de PubMed, Cochrane Controlled Registre, et de nombreuses références croisées. Les études de langue anglaise examinant spécifiquement veau thrombose veineuse profonde (C-DVT) définie comme axiale et / ou veines musculaires du mollet, ne comportant pas la veine poplitée, ont été inclus. Des communications ont été examinées de façon indépendante par deux chercheurs (EM, FL) et la qualité classés sur la base de neuf normes méthodologiques des rapports sur quatre paramètres de résultats. Résultats: Sur les 1513 citations examinés, 31 documents pertinents répondant à des critères prédéfinis ont été trouvés: six essais contrôlés randomisés (ECR) et 25 études de cohorte observationnelles ou séries de cas. Il y avait un RCT unique comparant directement anticoagulation sans anticoagulation avec la compression et la surveillance duplex, et ils ont trouvé aucune différence dans la propagation, PE, ou des saignements dans une population à faible risque. Sur la base de deux études de méthodologie modérément forte, la propagation C-TVP a été réduit avec anticoagulation. Lorsque le traitement est non affecté, la preuve modérément forte a suggéré que 15% se propagent à la veine poplitée ou plus. Cependant, sur la base des données non randomisées, mais modérée à haute qualité (niveau A et B des études), la propagation à poplitée ou plus était de 8% chez ceux sans anticoagulation traités avec surveillance seulement. Propagation impliquant veines du mollet adjacentes tout en restant dans le mollet est survenue dans un maximum de la moitié de tous ceux qui propagent. Les saignements majeurs était un point final destiné à trois ECR et a été rapporté comme 0% à 6%, avec une tendance vers un risque de saignement plus faible dans des études plus récentes. PE lors de la surveillance dans les études avec un traitement non affecté était remarquablement plus faible que les rapports historiques de PE enregistrées lors de la présentation, en insistant sur la distinction qui doit être faite entre les deux entités. Récurrence en C-DVT est inférieure à la cuisse DVT, et les données suggèrent que les groupes à faible risque avec des facteurs de risque transitoires, 6 semaines d'anticoagulation peut être suffisant, par opposition à 12 semaines. Les études de PTS rapporté que les patients avec C-TVP avaient moins de symptômes que leurs homologues de la cuisse DVT. Environ un sur 10 ont montré des symptômes de la classe CEAP 4 à 6; cependant, C5 ou C6 avec ulcération cicatrisée ou actifs ne sont pas couramment rencontrées. CONCLUSIONS: Aucune étude de la méthodologie forte n'a pu être trouvée pour résoudre la controverse de traitement optimal de C-DVT. Compte tenu des risques de propagation, PE, et la récurrence, l'option de ne rien faire doit être considéré comme inacceptable. En l'absence de preuves solides pour soutenir anticoagulation sur la surveillance de l'imagerie avec anticoagulation sélective, soit la méthode de gestion de veau DVT doit rester comme des normes acceptables actuelles.

Systematic review

Unclassified

Auteurs Cundiff DK
Journal Medscape journal of medicine
Year 2008
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CONTEXTE: Les études in vitro et des rapports anecdotiques cliniques ont suggéré que cliniquement hypercoagulabilité rebond significatif peut se produire après l&#39;arrêt des anticoagulants oraux (CPO), tels que les antagonistes de la vitamine K et ximélagatran, de thrombo-embolie veineuse (TEV). OBJECTIF: Évaluer la mesure dans laquelle rebond hypercoagulabilité liés récidives TEV se produire dans les 2 mois suivant l&#39;arrêt de la CPO. SOURCES DE DONNÉES: publication, des essais contrôlés randomisés (ECR) de traitement de la TEV CAO. SÉLECTION DES ÉTUDES: ECR pour différentes durées de traitement de la TEV CAO qui comprennent récidive TEV (ou extension) des données pendant plus de 2 mois après l&#39;arrêt des anticoagulants. EXTRACTION DE DONNÉES: le taux de récidives TEV (1), tout en tenant CPO, (2) dans les 2 mois suivant l&#39;arrêt CPO, et (3) de&gt; 2 mois jusqu&#39;à la fin de l&#39;étude ont été extraites ainsi que des épisodes de saignement majeur, tout le CPO. Le taux de récidives TEV peut-être attribuable au rebond hypercoagulabilité a été estimée en soustrayant le taux de récidive TEV après la période de rebond de 2 mois à partir du taux au cours de la période de rebond. SYNTHÈSE DES DONNÉES: Dans 20 essais (n = 5822), les récidives TEV étaient 2,62 fois plus fréquente dans les 2 mois suivant l&#39;arrêt du CPO que la suite (1,57% des récidives TEV par mois tombant à 0,56% par mois, odds ratio = 2,62, 95% intervalle de confiance: de 2,19 à 3,14), correspondant à 2,02% des patients atteints de rebond hypercoagulabilité liés récidives TEV (1,57% par mois - 0,56% par mois x 2 mois = 2,02%). Au cours des 11 essais avec des données évaluables du court et les bras CAO de plus longue durée, le total des effets indésirables (récidives TEV plus saignement majeur) sur la durée entière du procès n&#39;étaient pas significativement différents. CONCLUSIONS: Les comptes hypercoagulabilité rebond d&#39;environ 2% des patients ayant TEV récurrente dans les 2 premiers mois après l&#39;arrêt du CPO. ECR évaluant l&#39;efficacité de la CPO devrait inclure des données pendant au moins 2 mois après le traitement CAO. L&#39;augmentation de la durée du traitement OAC ne réduit pas les événements indésirables d&#39;ensemble.

Systematic review

Unclassified

Journal Archives of internal medicine
Year 2003
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CONTEXTE: Après un premier épisode de thrombo-embolie veineuse, les patients sont traités avec la vitamine K (phytonadione) antagonistes. Il ya des indications que le risque de récidive après traitement par antivitamines K diminue par rapport à la durée écoulée depuis le premier événement. Le but de la présente méta-analyse est de décrire le risque de thromboembolie veineuse récidivante après un traitement par antivitamine K par rapport au temps écoulé depuis l'événement index. MÉTHODES: Des recherches informatisées dans les bases de données MEDLINE et EMBASE, les chèques de références des articles pertinents, la communication personnelle avec les collègues pour trouver des essais cliniques randomisés et des études de cohorte dans laquelle les patients souffrant de thromboembolie veineuse ont été traités avec des antagonistes de la vitamine K. Par groupe de traitement, 2 examinateurs ont extrait les données sur le nombre d'événements récurrents et de la durée du suivi par période de 3 mois. Résultats: Un total de 135 études potentiellement éligibles ont été identifiés. Parmi ceux-ci, 18 études pourraient être inclus, comprenant 25 groupes de traitement qui pourraient être analysés. Bras de traitement ont été divisés en 3 groupes en fonction de la durée du traitement (à court, moyen et long terme). Pour tous les 3 groupes, l'incidence mensuelle immédiatement après l'arrêt du traitement était élevé et a diminué ensuite rapidement. L'incidence mensuelle après 9 mois semblait indépendante de la durée du traitement. CONCLUSIONS: Il existe un risque de thromboembolie veineuse diminue récurrente au fil du temps et une stabilisation après 9 mois indépendants de la durée du traitement initial avec des antagonistes de la vitamine K. Ces résultats ont des implications importantes pour la prise de décision au sujet de la durée optimale du traitement par antivitamines K.