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Systematic review

Unclassified

Journal The Cochrane database of systematic reviews
Year 2021
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Background: Compared with people without cancer, people with cancer who receive anticoagulant treatment for venous thromboembolism (VTE) are more likely to develop recurrent VTE. Objectives: To compare the efficacy and safety of three types of parenteral anticoagulants (i.e. fixed-dose low molecular weight heparin (LMWH), adjusted-dose unfractionated heparin (UFH), and fondaparinux) for the initial treatment of VTE in people with cancer. Search methods: We performed a comprehensive search in the following major databases: Cochrane Central Register of Controlled Trials (CENTRAL), MEDLINE (via Ovid) and Embase (via Ovid). We also handsearched conference proceedings, checked references of included studies, and searched for ongoing studies. This update of the systematic review is based on the findings of a literature search conducted on 14 August 2021. Selection criteria: Randomised controlled trials (RCTs) assessing the benefits and harms of LMWH, UFH, and fondaparinux in people with cancer and objectively confirmed VTE. Data collection and analysis: Using a standardised form, we extracted data – in duplicate – on study design, participants, interventions, outcomes of interest, and risk of bias. Outcomes of interest included all-cause mortality, symptomatic VTE, major bleeding, minor bleeding, postphlebitic syndrome, quality of life, and thrombocytopenia. We assessed the certainty of evidence for each outcome using the GRADE approach. Main results: Of 11,484 identified citations, 3073 were unique citations and 15 RCTs fulfilled the eligibility criteria, none of which were identified in the latest search. These trials enrolled 1615 participants with cancer and VTE: 13 compared LMWH with UFH; one compared fondaparinux with UFH and LMWH; and one compared dalteparin with tinzaparin, two different types of low molecular weight heparin. The meta-analyses showed that LMWH may reduce mortality at three months compared to UFH (risk ratio (RR) 0.66, 95% confidence interval (CI) 0.40 to 1.10; risk difference (RD) 57 fewer per 1000, 95% CI 101 fewer to 17 more; low certainty evidence) and may reduce VTE recurrence slightly (RR 0.69, 95% CI 0.27 to 1.76; RD 30 fewer per 1000, 95% CI 70 fewer to 73 more; low certainty evidence). There were no data available for bleeding outcomes, postphlebitic syndrome, quality of life, or thrombocytopenia. The study comparing fondaparinux with heparin (UFH or LMWH) found that fondaparinux may increase mortality at three months (RR 1.25, 95% CI 0.86 to 1.81; RD 43 more per 1000, 95% CI 24 fewer to 139 more; low certainty evidence), may result in little to no difference in recurrent VTE (RR 0.93, 95% CI 0.56 to 1.54; RD 8 fewer per 1000, 95% CI 52 fewer to 63 more; low certainty evidence), may result in little to no difference in major bleeding (RR 0.82, 95% CI 0.40 to 1.66; RD 12 fewer per 1000, 95% CI 40 fewer to 44 more; low certainty evidence), and probably increases minor bleeding (RR 1.53, 95% CI 0.88 to 2.66; RD 42 more per 1000, 95% CI 10 fewer to 132 more; moderate certainty evidence). There were no data available for postphlebitic syndrome, quality of life, or thrombocytopenia. The study comparing dalteparin with tinzaparin found that dalteparin may reduce mortality slightly (RR 0.86, 95% CI 0.43 to 1.73; RD 33 fewer per 1000, 95% CI 135 fewer to 173 more; low certainty evidence), may reduce recurrent VTE (RR 0.44, 95% CI 0.09 to 2.16; RD 47 fewer per 1000, 95% CI 77 fewer to 98 more; low certainty evidence), may increase major bleeding slightly (RR 2.19, 95% CI 0.20 to 23.42; RD 20 more per 1000, 95% CI 14 fewer to 380 more; low certainty evidence), and may reduce minor bleeding slightly (RR 0.82, 95% CI 0.30 to 2.21; RD 24 fewer per 1000, 95% CI 95 fewer to 164 more; low certainty evidence). There were no data available for postphlebitic syndrome, quality of life, or thrombocytopenia. Authors' conclusions: Low molecular weight heparin (LMWH) is probably superior to UFH in the initial treatment of VTE in people with cancer. Additional trials focusing on patient-important outcomes will further inform the questions addressed in this review. The decision for a person with cancer to start LMWH therapy should balance the benefits and harms and consider the person's values and preferences. Copyright © 2021 The Cochrane Collaboration. Published by John Wiley & Sons, Ltd.

Systematic review

Unclassified

Journal Cochrane Database of Systematic Reviews
Year 2018
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CONTEXTE: La thrombose veineuse profonde (TVP) survient lorsqu'un caillot de sang bloque le flux sanguin dans une veine, ce qui peut se produire après une chirurgie, après un traumatisme ou lorsqu'une personne est restée immobile pendant une longue période. Les caillots peuvent se déplacer et bloquer le flux sanguin vers les poumons (embolie pulmonaire [EP]), pouvant causer la mort. La TVP et l'EP sont connus sous le terme de thromboembolie veineuse (TEV). L'héparine (sous forme d'héparine non fractionnée (HNF)) est un médicament anticoagulant utilisé au cours des trois à cinq premiers jours de traitement de la TVP. Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) permettent aux personnes souffrant de TVP de recevoir leur traitement initial à domicile plutôt qu'à l'hôpital. Ceci est une mise à jour d'une revue publiée pour la première fois en 2001 et mise à jour en 2007. OBJECTIFS: Comparer l'incidence et les complications de la thromboembolie veineuse (TEV) chez les patients traités à domicile par rapport aux patients traités par des schémas thérapeutiques standard en hospitalisation. Les objectifs secondaires incluaient l'évaluation de la satisfaction des patients et le rapport coût-efficacité du traitement. STRATÉGIE DE RECHERCHE DOCUMENTAIRE: Pour cette mise à jour, le spécialiste Cochrane de l'information dans le domaine vasculaire a effectué des recherches dans le registre Cochrane spécialisé dans le domaine vasculaire (dernière recherche le 16 mars 2017), le registre Cochrane des essais contrôlés (CENTRAL ; 2017, numéro 2), et les registres d'essais cliniques. Nous avons également vérifié les références bibliographiques des publications pertinentes. CRITÈRES DE SÉLECTION: Essais contrôlés randomisés (ECR) évaluant le traitement à domicile par rapport au traitement hospitalier pour la TVP, dans lesquels une TVP avait été confirmée cliniquement et était traitée avec de l'HBPM ou de l'HNF. RECUEIL ET ANALYSE DES DONNÉES: Un auteur de la revue a sélectionné les documents à inclure, et un autre a examiné la sélection des essais. Deux auteurs de la revue ont indépendamment extrait les données et évalué le risque de biais des études incluses. Les critères de jugement principaux incluaient les événements de TEV combinés (EP et récidive de TVP), les cas de gangrène, les complications liées à l'héparine et les décès. Les critères de jugement secondaires étaient la satisfaction des patients et les implications financières. Nous avons réalisé une méta-analyse en utilisant des modèles à effets fixes avec des risques relatifs (RR) et des intervalles de confiance à 95 % (IC) pour les données dichotomiques. RÉSULTATS PRINCIPAUX: Dans cette revue, nous avons inclus sept ECR portant sur 1839 patients randomisés dans des bras de traitement comparables. Les sept essais présentaient des problèmes majeurs dont des taux d'exclusion élevés, des traitements réalisés partiellement à l'hôpital chez de nombreux patients dans les bras de traitement à domicile, et la comparaison de l'HNF à l'hôpital par rapport à l'HBPM à domicile. Ces essais ont montré que les patients traités à domicile avec de l'HBPM étaient moins susceptibles d'avoir une récidive de TEV que ceux recevant un traitement à l'hôpital avec de l'HNF ou de l'HBPM (risque relatif à effets fixes [RR] 0,58, intervalle de confiance [IC] à 95 % 0,39 à 0,86 ; 6 études ; 1708 participants ; P = 0,007 ; preuves de faible qualité). Aucune différence claire n'a été observée entre les groupes en ce qui concerne les événements hémorragiques majeurs (RR 0,67, IC à 95 % 0,33 à 1,36 ; 6 études ; 1708 participants ; P = 0,27 ; preuves de faible qualité), les événements hémorragiques mineurs (RR 1,29, IC à 95 % 0,94 à 1,78 ; 6 études ; 1708 participants ; P = 0,11 ; preuves de faible qualité), ou la mortalité (RR 0,69, IC à 95 % 0,44 à 1,09 ; 6 études ; 1708 participants ; P = 0,11 ; preuves de faible qualité). Les études incluses n'ont pas rapporté de cas de gangrène veineuse. Nous n'avons pas pu combiner les critères de jugement de satisfaction des patients et de qualité de vie dans une méta-analyse en raison de l'hétérogénéité de notification, mais deux des trois études ont constaté que le traitement à domicile conduisait à une amélioration de la qualité de vie plus importante par rapport à un traitement hospitalier à un moment du suivi, et la troisième étude faisait état d'un grand nombre de participants choisissant de passer des soins hospitaliers à des soins à domicile pour des raisons personnelles et sociales, suggérant que cette dernière option est l'option préférée des patients (preuves de très faible qualité). Aucune des études incluses dans cette revue n'a mené d'analyse complète du rapport coût-efficacité. Cependant, une évaluation économique randomisée de petite taille des deux contextes de traitement alternatifs portant sur 131 participants montrait que les coûts directs étaient plus élevés pour les patients dans le groupe de traitement hospitalier. Ces résultats étaient corroborés par trois autres études ayant rapporté leurs coûts (preuves de très faible qualité).La qualité des preuves pour les données de méta-analyses était faible à très faible en raison du risque de biais, étant donné que la plupart des études incluses utilisaient des techniques de randomisation peu claires, et que la mise en aveugle était un problème dans de nombreuses études. Aussi, le caractère indirect était préoccupant, étant donné que la plupart des études incluaient un grand nombre de participants qui étaient randomisés dans le groupe de traitement à domicile (HBPM) et traités à l'hôpital pendant une partie ou toute la période de traitement. Un autre problème pour certains critères de jugement était l'hétérogénéité manifeste concernant la mesure et la notification des résultats. CONCLUSIONS DES AUTEURS: Des preuves de faible qualité suggèrent que les patients traités à domicile avec de l'HBPM sont moins susceptibles d'avoir une récidive de TVE que ceux traités à l'hôpital. Cependant, les données ne montrent aucune différence claire concernant les événements hémorragiques majeurs ou mineurs, ni concernant la mortalité (preuves de faible qualité), ce qui indique que le traitement à domicile n'est pas pire que le traitement hospitalier pour ces critères de jugement. Comme la plupart des systèmes de soins de santé s'orientent vers une plus grande utilisation de l'HBPM à domicile, il est peu probable que d'autres essais de grande taille soient réalisés pour comparer ces traitements. Par conséquent, le traitement à domicile va certainement devenir la norme, et d'autres recherches devront s'attacher à résoudre les questions pratiques en développant des recommandations locales incluant des règles de prédiction clinique, des biomarqueurs et des techniques d'imagerie pouvant être utilisés pour adapter le traitement à la gravité de la maladie, et en formant les professionnels de santé qui administrent et surveillent le traitement.

Systematic review

Unclassified

Journal Cochrane Database of Systematic Reviews
Year 2017
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CONTEXTE: Les personnes développant des thromboembolies veineuses (TEV) sont généralement traitées pendant cinq jours par héparine non fractionnée intraveineuse ou par héparine de bas poids moléculaire (HBPM) par voie sous-cutanée, puis au moyen d'antagonistes de la vitamine K (AVK) pendant trois mois. Le traitement aux AVK nécessite des examens de laboratoire réguliers et comporte un risque de saignement ; certaines personnes présentent des contre-indications pour ce type de traitement. Le traitement par HBPM a été proposé comme option pour minimiser le risque de complications hémorragiques. Cet article est la deuxième mise à jour d'une revue publiée pour la première fois en 2001. OBJECTIFS: L'objectif de cette revue était d'évaluer l'efficacité et l'innocuité du traitement à long terme (trois mois) au moyen d'HBPM par rapport à un traitement à long terme (trois mois) avec des AVK pour les TEV symptomatiques. STRATÉGIE DE RECHERCHE DOCUMENTAIRE: Pour cette mise à jour, le spécialiste Cochrane de l'information dans le domaine vasculaire a réalisé des recherches dans son registre spécialisé (dernière recherche en novembre 2016) et dans le registre Cochrane des essais contrôlés (CENTRAL, 2016, numéro 10), le spécialiste Cochrane de l'information dans le domaine vasculaire a également réalisé des recherches dans des registres d'essais cliniques pour identifier des études en cours. CRITÈRES DE SÉLECTION: Les essais contrôlés randomisés comparant l'HBPM par rapport aux AVK pour le traitement à long-terme (trois mois) des TEV symptomatiques. Deux auteurs de la revue ont indépendamment évalué les essais à inclure ainsi que leur qualité méthodologique. RECUEIL ET ANALYSE DES DONNÉES: Les auteurs de la revue ont indépendamment extrait les données et évalué le risque de biais. Nous avons résolu les désaccords par la discussion et effectué une méta-analyse en utilisant des modèles à effets fixes avec des rapports de cotes de Peto (RC de Peto) et des intervalles de confiance à 95 % (IC). Les critères de jugement d'intérêt étaient les récurrences des TEV, les hémorragies majeures, et la mortalité. Nous avons utilisé l'approche GRADE pour évaluer la qualité globale des preuves étayant ces critères de jugement. RÉSULTATS PRINCIPAUX: Seize essais, avec un total combiné de 3299 participants ont rempli nos critères d'inclusion. Conformément à l'approche GRADE, la qualité des preuves était modérée pour les récurrences des TEV, faible pour les hémorragies majeures, et modérée pour la mortalité. Nous avons rabaissé la qualité des preuves en raison des imprécisions (récurrences des TEV, mortalité) et du risque de biais et du manque de cohérence (hémorragies majeures).Nous n'avons trouvé aucune différence claire au niveau des récurrences des TEV entre l'HBPM et les AVK (RC de Peto 0,83, intervalle de confiance à 95 % (IC) 0,60 à 1,15 ; P = 0,27 ; 3299 participants ; 16 études ; preuves de qualité modérée). Nous avons trouvé moins de saignements avec l'HBPM par rapport aux AVK (RC de Peto 0,51, IC à 95 % 0,32 à 0,80 ; P = 0,004 ; 3299 participants ; 16 études ; preuves de faible qualité). Toutefois, dans la comparaison portant seulement sur les études de haute qualité, nous n'avons observé aucune différence claire au niveau des saignements entre l'HBPM et les AVK (RC de Peto 0,62, IC à 95 % 0,36 à 1,07 ; P = 0,08 ; 1872 participants ; sept études). Nous n'avons identifié aucune différence notable entre l'HBPM et les AVK en termes de mortalité (RC de Peto 1,08, IC à 95 % 0,75 à 1,56 ; P = 0,68 ; 3299 participants ; 16 études ; preuves de qualité modérée). CONCLUSIONS DES AUTEURS: Des données de qualité modérée ne montrent aucune différence claire entre l'HBPM et les AVK dans la prévention des TEV symptomatiques et des décès après un épisode de TVP symptomatique. Des preuves de faible qualité suggèrent moins de cas d'hémorragies majeures avec l'HBPM par rapport aux AVK. Cependant, dans la comparaison portant seulement sur les études de haute qualité il n'y avait aucune différence claire entre l'HBPM et les AVK au niveau des saignements. Les HBPM peuvent faire office d'alternative pour certaines personnes, par exemple, celles résidant dans des zones géographiquement inaccessibles, celles qui ne sont pas en mesure de se rendre régulièrement dans des services ou ne souhaitent pas le faire, et celles ayant des contre-indications à la prise d'un AVK. NOTES DE TRADUCTION: Traduction réalisée par Martin Vuillème et révisée par Cochrane France

Systematic review

Unclassified

Journal Cochrane Database of Systematic Reviews
Year 2017
BACKGROUND: Low molecular weight heparins (LMWHs) have been shown to be effective and safe in preventing venous thromboembolism (VTE). They may also be effective for the initial treatment of VTE. This is the third update of the Cochrane Review first published in 1999. OBJECTIVES: To evaluate the efficacy and safety of fixed dose subcutaneous low molecular weight heparin compared to adjusted dose unfractionated heparin (intravenous or subcutaneous) for the initial treatment of people with venous thromboembolism (acute deep venous thrombosis or pulmonary embolism). SEARCH METHODS: For this update the Cochrane Vascular Information Specialist (CIS) searched the Cochrane Vascular Specialised Register (15 September 2016). In addition the CIS searched the Cochrane Central Register of Controlled Trials (CENTRAL; 2016, Issue 8) in the Cochrane Library (searched 15 September 2016) and trials' registries. SELECTION CRITERIA: Randomised controlled trials comparing fixed dose subcutaneous LMWH with adjusted dose intravenous or subcutaneous unfractionated heparin (UFH) in people with VTE. DATA COLLECTION AND ANALYSIS: Two review authors independently selected trials for inclusion, assessed for quality and extracted data. MAIN RESULTS: Six studies were added to this update resulting in a total of 29 included studies (n = 10,390). The quality of the studies was downgraded as there was a risk of bias in some individual studies relating to risk of attrition and reporting bias; in addition several studies did not adequately report on the randomisation methods used nor on how the treatment allocation was concealed.During the initial treatment period, the incidence of recurrent venous thromboembolic events was lower in participants treated with LMWH than in participants treated with UFH (Peto odds ratio (OR) 0.69, 95% confidence intervals (CI) 0.49 to 0.98; 6238 participants; 18 studies; P = 0.04; moderate-quality evidence). After a follow-up of three months, the period in most of the studies for which oral anticoagulant therapy was given, the incidence of recurrent VTE was lower in participants treated with LMWH than in participants with UFH (Peto OR 0.71, 95% CI 0.56 to 0.90; 6661 participants; 16 studies; P = 0.005; moderate-quality evidence). Furthermore, at the end of follow-up, LMWH was associated with a lower rate of recurrent VTE than UFH (Peto OR 0.72, 95% CI 0.59 to 0.88; 9489 participants; 22 studies; P = 0.001; moderate-quality evidence). LMWH was also associated with a reduction in thrombus size compared to UFH (Peto OR 0.71, 95% CI 0.61 to 0.82; 2909 participants; 16 studies; P < 0.00001; low-quality evidence), but there was moderate heterogeneity (I² = 56%). Major haemorrhages occurred less frequently in participants treated with LMWH than in those treated with UFH (Peto OR 0.69, 95% CI 0.50 to 0.95; 8780 participants; 25 studies; P = 0.02; moderate-quality evidence). There was no difference in overall mortality between participants treated with LMWH and those treated with UFH (Peto OR 0.84, 95% CI 0.70 to 1.01; 9663 participants; 24 studies; P = 0.07; moderate-quality evidence). AUTHORS' CONCLUSIONS: This review presents moderate-quality evidence that fixed dose LMWH reduced the incidence of recurrent thrombotic complications and occurrence of major haemorrhage during initial treatment; and low-quality evidence that fixed dose LMWH reduced thrombus size when compared to UFH for the initial treatment of VTE. There was no difference in overall mortality between participants treated with LMWH and those treated with UFH (moderate-quality evidence). The quality of the evidence was assessed using GRADE criteria and downgraded due to concerns over risk of bias in individual trials together with a lack of reporting on the randomisation and concealment of treatment allocation methods used. The quality of the evidence for reduction of thrombus size was further downgraded because of heterogeneity between studies.

Systematic review

Unclassified

Journal JAMA
Year 2014
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IMPORTANCE: De nombreuses stratégies anticoagulantes sont disponibles pour le traitement de la thromboembolie veineuse aiguë, mais peu d'indications existe au sujet de laquelle le médicament est le plus efficace et sécuritaire. OBJECTIF: Pour résumer et de comparer les résultats d'efficacité et de sécurité associés aux options 8 anticoagulation (héparine non fractionnée [HNF], à faible poids moléculaire héparine [HBPM], ou fondaparinux en combinaison avec des antagonistes de la vitamine K); HBPM avec dabigatran ou edoxaban; rivaroxaban; apixaban; et HBPM seule) pour le traitement de la thromboembolie veineuse. SOURCES DE DONNÉES: Une recherche systématique de la littérature a été réalisée en utilisant MEDLINE, EMBASE, et les examens de médecine fondée sur des données probantes de création au 28 Février 2014. SÉLECTION DES ÉTUDES: Les études admissibles ont été randomisés essais faisant état de taux de thromboembolie veineuse récurrente et saignements majeurs chez les patients atteints de thromboembolie veineuse aiguë. Parmi les 1197 études identifiées, 45 essais dont 44,989 patients ont été inclus dans les analyses. EXTRACTION DE DONNÉES ET SYNTHÈSE: Deux auteurs ont extrait indépendamment les données au niveau du procès, y compris nombre de patients, la durée du suivi, et les résultats. Les données ont été rassemblées en utilisant le réseau méta-analyse. LES RÉSULTATS ET MESURES PRINCIPALES: Les résultats cliniques et de sécurité primaires étaient la thromboembolie veineuse récurrente et saignement majeur, respectivement. RÉSULTATS: Par rapport à la combinaison K antagoniste HBPM-vitamine, une stratégie de traitement utilisant la combinaison K antagoniste HNF-vitamine a été associée à un risque accru de thromboembolie veineuse récurrente (risque relatif [RR], 1,42; 95% intervalle de crédibilité [ICr], 1,15 à 1,79). La proportion de patients ayant présenté une thromboembolie veineuse récurrente pendant 3 mois de traitement était de 1,84% (95% ICr, 1,33% -2,51%) pour la K combinaison antagoniste UFH-vitamine et 1,30% (95% ICr, 1,02% -1,62%) pour la combinaison K antagoniste HBPM-vitamine. Rivaroxaban (HR, 0,55; 95% ICr, de 0,35 à 0,89) et apixaban (HR, 0,31; 95% ICr, de 0,15 à 0,62) ont été associés à un risque moindre de saignements que était la combinaison K antagoniste HBPM-vitaminique, avec une plus faible proportion de patients ayant présenté un événement de saignement majeur pendant 3 mois de anticoagulation: 0,49% (95% ICr, 0,29% -0,85%) pour rivaroxaban, 0,28% (95% ICr, 0,14% -0,50%) pour apixaban, et 0,89% ( 95% ICr, 0,66% -1,16%) pour la K combinaison antagoniste HBPM-vitamine. CONCLUSIONS ET PERTINENCE: Utilisation de la mise en commun méta-analyse, il n'y avait pas de différence statistiquement significative pour l'efficacité et la sécurité associée à la plupart des stratégies de traitement utilisés pour traiter la maladie thromboembolique veineuse aiguë par rapport à la K combinaison antagoniste HBPM-vitamine. Toutefois, les résultats suggèrent que la combinaison K antagoniste UFH-vitamine est associée à la stratégie moins efficace et que le rivaroxaban et l'apixaban peut être associé au risque le plus faible pour le saignement.

Systematic review

Unclassified

Auteurs Hull RD , Townshend G
Journal Thrombosis and haemostasis
Year 2013
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This article reviews updated evidence-based knowledge on long-term treatment of deep-vein thrombosis (DVT) with low-molecular-weight heparin (LMWH) or vitamin K antagonists (VKAs). Eleven trials were identified comparing the two treatments in a broad spectrum of patients with DVT and with >100 study participants. Four comparative trials were identified in patients with cancer and DVT (in whom anticoagulation treatment is more complex and bleeding complications more frequent). In the 11 trials in broad patient populations, LMWHs were as effective as VKAs in preventing recurrent venous thromboembolism (VTE), and there were no consistent differences in the incidence of bleeding complications during long-term treatment. In patients with cancer, VTE recurrence was significantly reduced with LMWH versus VKA in two studies, while major bleeding complications did not differ between groups in any of the four trials. Current evidence-based European and American guidelines recommend LMWH over VKA for the long-term treatment of DVT in patients with cancer. LMWH and VKA are recommended over the new oral anticoagulant drugs, for which there are limited data on use in long-term treatment. Post-thrombotic syndrome (PTS), a common complication of DVT, causes considerable morbidity. Long-term use of tinzaparin reduced the risk of PTS compared with VKA in one trial, and a meta-analysis of nine studies in total demonstrated a consistently favourable effect of LMWHs versus VKA on PTS-related outcomes. Given the limited treatment options available for PTS, this suggests that LMWHs provide a useful therapeutic option in any patient particularly at risk of developing PTS.

Systematic review

Unclassified

Journal The Medical journal of Australia
Year 2012
OBJECTIF: Évaluer l'effet de «l'hôpital à la maison" (HITH) services qui se substituent de façon significative le temps hospitalisation de la mortalité, le taux de réadmission, satisfaction du patient et soignant, et les coûts. SOURCES DES DONNÉES: MEDLINE, Embase, Sciences Citation Index Social, CINAHL, EconLit, PsycINFO et la Cochrane Database of Systematic Reviews, à partir de la date la plus rapprochée dans chaque base de données au 1er Février 2012. SÉLECTION DES ÉTUDES: Les essais comparatifs randomisés (ECR) comparant soins HITH avec traitement hospitalisation pour les patients âgés de> 16 ans. Extraction des données: études potentiellement pertinentes ont été examinées de façon indépendante par deux évaluateurs, et les données ont été extraites à l'aide d'un modèle de collection et liste de contrôle. SYNTHÈSE DES DONNÉES: 61 ECR ont répondu aux critères d'inclusion. Soins HITH conduit réduction de la mortalité (odds ratio [OR], 0,81; IC 95%, 0,69 à 0,95, p = 0,008; 42 ECR avec 6992 patients), les taux de réadmission (OR, 0,75; IC 95%, 0,59 au 0,95; P = 0.02; 41 ECR avec 5372 patients) et le coût (différence moyenne, -1,567,11; IC à 95%, -2069,53 à -1064,69; P <0,001; 11 ECR avec 1215 patients). Le nombre de patients à traiter à la maison pour prévenir un décès était de 50. Aucune hétérogénéité a été observée pour les données sur la mortalité, mais l'hétérogénéité a été observée pour les données relatives aux taux de réadmission et de coût. La satisfaction des patients était plus élevé dans HITH dans 21 des 22 études, et la satisfaction du personnel soignant était plus élevée dans et six des huit études; fardeau des aidants était plus faible dans huit des 11 études, mais pas de manière significative (différence, 0,00 signifier, IC -0.19 95% à 0,19). CONCLUSION: HITH est associée à une réduction de la mortalité, les taux de réadmission et de coût, et des augmentations de satisfaction du patient et soignant, mais aucun changement de la charge de personnel soignant.

Systematic review

Unclassified

Journal PloS one
Year 2012
INTRODUCTION: Le pourcentage de temps dans la plage INR cible de 2,0 à 3,0 (TTR) chez les patients traités par antivitamines K varie considérablement selon les études de l'efficacité des anticoagulants nouveaux. Afin d'évaluer correctement la qualité du contrôle anticoagulant dans les prochaines études coût-efficacité et les registres de la vie réelle de cette revue systématique rapporte un point de repère de TTR pour différentes durées de traitement chez les patients présentant la maladie thromboembolique veineuse et discute des façons de calculer TTR. MÉTHODES: Medline et Embase ont cherché des études publiées entre Janvier 1990 et mai 2012. Des essais contrôlés randomisés et les études de cohortes rapports du TTR chez les patients ayant une thromboembolie veineuse confirmée objectivement traités par antivitamines K (AVK) étaient admissibles. Dupliquer les rapports, les études ne rapportant INR au cours du traitement initial ou d'un traitement AVK moins de 3 mois ont été exclus. Trois auteurs ont évalué les essais pour l'inclusion et extrait les données indépendamment. Les divergences ont été résolues par la discussion entre les examinateurs. Une méta-analyse a été réalisée en calculant une moyenne pondérée, en fonction du nombre de participants dans chacune des études, pour chaque période de temps dans laquelle le TTR a été mesurée depuis la confirmation du diagnostic de MTEV. RÉSULTATS: Quarante études ont été incluses (26 064 patients). Les moyennes pondérées des TTR étaient 54,0% dans le premier mois depuis le début du traitement, 55,6% dans les mois 1 à 3, 60,0% dans les 2 à 3 mois, 60,0% dans les mois 1 à 6 + et 75,2% dans les mois à 4 à 12 +. Cinq études ont rapporté TTR dans les classes. L'INR dans ces études était ≥ 67% du temps dans l'intervalle thérapeutique dans 72,0% des patients. CONCLUSION: Rapporté qualité du traitement AVK est fortement dépendante de la période de temps depuis le début du traitement, avec TTR allant d'environ 56% dans les études, y compris le 1 (er) mois à 75% dans les études excluant les 3 premiers mois.

Systematic review

Unclassified

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CONTEXTE: élaboration de lignes directrices pour la pratique clinique consiste à faire des compromis entre les conséquences désirables et indésirables des stratégies de gestion alternative. Bien que la valeur relative des états de santé aux patients devrait servir de base à ces compromis, quelques lignes directrices ont systématiquement résumé les éléments de preuve pertinents. Nous avons effectué une revue systématique concernant les valeurs et les préférences des patients qui envisagent un traitement antithrombotique. Méthodes: Nous avons inclus les études portant sur les préférences des patients pour des approches alternatives à la prophylaxie antithrombotique et les études qui ont examiné, dans le cadre d'une prophylaxie ou d'un traitement antithrombotique, comment les patients apprécient les Etats et les expériences alternatives de santé avec le traitement. Nous avons effectué une recherche systématique et résumés structurés compilées des résultats. Les étapes du processus impliquant le jugement ont été réalisées en double exemplaire. RÉSULTATS: Nous avons identifié 48 études admissibles. Seize traités à la fibrillation auriculaire, cinq avec VTE, quatre avec accident vasculaire cérébral ou la prophylaxie de l'infarctus du myocarde, six avec la thrombolyse dans l'AVC aigu ou un infarctus du myocarde, et 17 avec la charge de traitement antithrombotique. Conclusion: les valeurs et les préférences des patients en ce qui concerne le traitement de la thromboprophylaxie semblent être très variable. Les réponses des participants peuvent dépendre de leur expérience préalable avec les traitements ou les résultats de santé considérés, ainsi que sur les méthodes utilisées pour le déclenchement de préférence. Il devrait être la norme pour les lignes directrices de pratique clinique pour effectuer des examens systématiques des valeurs et des préférences du patient dans la zone de contenu spécifique.

Systematic review

Unclassified

Journal PloS one
Year 2012
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CONTEXTE: Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont au moins aussi efficaces que les médicaments antithrombotiques héparine non fractionnée (HNF). Cependant, il n'est pas encore clair si les profils de sécurité des HBPM et de l'HNF diffèrent. Nous avons effectué une revue systématique de comparer le risque d'hémorragie de la dose sous-cutanée HBPM fixe et l'HNF à dose ajustée pour le traitement de la thromboembolie veineuse (TEV) ou les syndromes coronariens aigus (SCA). Saignements majeurs était le point final primaire. MÉTHODES: bases de données électroniques (Medline, Embase et Cochrane Library) ont été fouillés jusqu'à mai 2010, sans restriction de langue. Des essais contrôlés randomisés où HBPM sous-cutanée ont été comparées à l'HNF par voie intraveineuse pour le traitement des thromboses aiguës ont été sélectionnés. Deux examinateurs ont indépendamment des études et extrait les données sur la conception de l'étude, la qualité de l'étude, l'incidence des saignements majeurs, des caractéristiques du patient, le type, la dose et le nombre de prises quotidiennes d'HBPM, co-traitements, les points finaux de l'étude et les résultats d'efficacité. Odds ratio combiné (OR) et les intervalles de confiance de 95% (IC) ont été calculés en utilisant le modèle à effets aléatoires. RÉSULTATS: Vingt-Sept études ont été incluses. Un total de 14.002 patients ont reçu l'HNF et HBPM 14.635 patients. Dans l'ensemble, aucune différence de saignement majeur n'a été observée entre les patients HBPM et l'HNF (OR = 0,79, IC 0,60 à 1,04 95%). Chez les patients ayant un ETEV HBPM semblait plus sûre que l'HNF (OR = 0,68, IC 0,47 à 1,00 95%). CONCLUSION: Les résultats de notre revue systématique suggèrent que l'utilisation des HBPM pour le traitement de la TEV pourrait être associée à une réduction des saignements majeurs par rapport à l'héparine non fractionnée. Le choix de l'héparine à utiliser pour minimiser le risque de saignement doit être fondée sur le seul patient, en tenant compte du profil des saignements de différentes héparines dans différents contextes.